Des mois que je n’avais pas publié quelques photos. Des mois que je vis intensément l’œil souvent détaché de l’appareil, à me promener à droite à gauche, plus souvent à gauche tout de même. Il m’arrive toutefois de prendre mon fidèle compagnon pour figer l’instant, des mers qui ne sont pas encore (trop) montées, des lacs pas encore asséchés, de l’herbe jaune, des dessins sur les murs, des montagnes qui rendent humble, des gens heureux, des arbres, et bien sûr Elizabeth. Lieux volontairement tus mais les yeux les plus aguerris reconnaîtront. 57 souvenirs.