Le couvre-feu, le semi-confinement, les restrictions sur les rassemblements, la fermeture des commerces, des bars, des musées, l’impossibilité de voyager autant que l’on l’aimerait, la vie masquée, partout, tout le temps. Pas le meilleur des climats pour faire des photographies, ou même se motiver à en faire. Difficile de retrouver l’ambiance de Paris qui semble plongée masquée dans un demi sommeil. On en profite alors dès que possible pour partir au pied levé au bord de l’océan. Le Morbihan d’abord, puis la Charente-Maritime.