Jamais trois sans quatre. Après juillet 2015, mai 2018, et novembre 2021, je n’ai pas résisté à retourner une nouvelle fois dans le pays de mon cœur. Voyage toujours épatant, merveilleux, surprenant. Les mots manquent. Des contrastes, commencé à 10 degrés, fini à 0, avec un passage à -9. Je ne parle évidemment pas du fameux vent islandais. Des lacs parfois gelés, des plaines parfois enneigées, des ciels parfois aurorés, des villages parfois abandonnés, des églises parfois tourbées, des montagnes parfois brumeuses, des rivières parfois chaudes. Et bien évidemment personne, jamais. Quelque chose me dit que ce n’est pas la dernière fois que je vais dans ce pays. Étonnant non ?
C’est parti pour 167 souvenirs.